Julien roule en Grand Ville 1971
Accro aux seventies et aux Pontiac, Julien, un parisien de 23 ans, est également co-organisateur du rencard Smooth Ride à Bonneuil (94). Il se livre à Soapcars en quelques questions.
Quel a été l’élément déclencheur de ta passion pour les voitures américaines?
« Je dirais que ce sont les séries télé et les films mais surtout les magazines comme Nitro et V8 que j’ai acheté assez tôt, vers 11 ans à peu près. Dès que j’ai acheté mon premier Nitro, j’ai acheté les suivants et la passion est vraiment partie de là. Je scrutais les annonces, lisais les essais, parfois sans rien y comprendre – il faut l’avouer – mais ça me faisait rêver. Depuis, je me suis toujours dit qu’il fallait que je franchisse le pas tôt ou tard. »
Tu possèdes une Pontiac Grand Ville 1971 depuis 6 ans. Une anecdote à son volant?
« La première prise en main un jour de décembre sous la neige, sans autobloquant, ni pneus neiges. Un risque à prendre (je devais la ramener chez moi) mais ça s’est très bien passé. »
T’as dû serrer les fesses…
« Ouais un peu! (rires) Mais ça va. J’ai roulé cool. »
Un mauvais souvenir?
« Un refus de priorité à droite qui s’est fini en travers d’un carrefour sous peine de collision avec un microbe dieselisé. »
Une autre voiture dont tu rêves?
« Pontiac Grand prix 1970. »
Tu es un vrai féru de Pontiac en fait.
« Yes ! Les avants pointus, le style particulier, les moteurs bleus, les intérieurs avec des tableaux de bord originaux. Globalement, le fait que ce soit une marque qui se différencie des autres au premier coup d’œil. »
Un film fétiche?
« The French connection. 1971. Il représente bien le début des 70’s. Un vrai polar à l’ancienne avec une BO bien dans le ton aussi. »
En parlant de musique, le morceau idéal pour rouler selon toi?
« Alors là, sans hésiter: le top of the line, le best of the best… The Temptation, « Papa was a rolling stone » sorti en 1972. »
Un grand merci à Julien pour avoir joué le jeu.
Pour en savoir plus sur sa Pontiac, lire Pontiac Grand Ville 1971: les derniers colosses.